La situation des droits de l’homme dans le pays organisateur des Jeux olympiques d’été de 2020 semble se détériorer. Le gouvernement ne parvient pas à lutter efficacement contre la discrimination pour les étrangers.
La procédure d’asile est trop stricte; en 2013, seulement six demandeurs sur 3.700 l’ont obtenu. La loi sur la Protection des Secrets spécialement désignés, entrée en vigueur en décembre 2014, pourrait limiter l’accès à l’information dont les citoyens ont besoin pour tenir leur gouvernement responsable de leurs actes. Et le Japon maintient toujours la peine de mort.
Pour l’instant, Amnesty ne craint pas que les violations des droits humains auront lieu en association avec l’événement sportif.